Prix Mangawa : avis aux amateurs de lecture japonaise !

Vous aimez lire des mangas et êtes fan de la littérature asiatique, alors venez-vous inscrire au prix Mangawa de cette année !

Pour y participer, c’est très simple. Il suffit de se rendre au CDI du lycée (il y a aussi la possibilité d’y participer dans les bibliothèques et les médiathèques), de demander qu’on vous inscrive et d'emprunter un manga à la fois. Il vous sera donné des fiches à remplir qui vous aideront à voter en fin d’année pour votre manga préféré dans chaque catégorie.

Sachez qu’il y a aussi un concours de dessin associé à Mangawa : le gagnant verra son dessin utilisé pour l’affiche du prix de l’année suivante. Le lycée Beaupré a même gagné ce concours en 2017 grâce à Zachary Pilot, TL, qui a produit ce dessin :

Existant depuis 2005, le prix Mangawa permet de découvrir toutes sortes de mangas, souvent jugés trop enfantins, trop vulgaires ou encore trop violents. Cependant, tous ces préjugés sur les mangas sont minoritaires au regard de l’étendue des possibilités de cet art. Les mangas comportent une multitude de styles différents et chacun peut y trouver son compte. Les shojo (en japonais, jeune ou petite fille) sont généralement des histoires d’amour. Les seinen (en japonais, jeunes hommes) ciblent de jeunes adultes. Les shonen (en japonais, adolescent) sont souvent des histoires rythmées par de l’action. Et j’en passe d’autres…

Ces styles de mangas ne visent pas plus une personne qu’une autre. Tout le monde peut lire des mangas, qu’importe le sexe ou l’âge, la diversité des mangas permet de vous orienter facilement vers ce que vous appréciez le plus. Petite précision, le prix Mangawa propose trois sélections correspondant aux catégories évoquées plus haut. Cinq mangas dans chaque catégories (et oui, ça fait quinze au total). Ils sont d’ailleurs choisis spécifiquement, puisque ce sont les premiers tomes des mangas parus entre le 1er septembre et le 31 août en France.

La sélection gagnante de l’an dernier est la suivante :

- Dans la catégorie shonen : Im de Makoto Morishita