Concours Mangawa : Goodnight World de Uru Okabe
Le concours Mangawa, qui se déroule chaque année, met à la disposition des élèves inscrits 15 mangas : 5 shôjo, 5 shônen et 5 seinen (catégories dans lesquelles sont placés les mangas en fonction du public visé). A la mi-mars, en plus de voter pour la meilleure série de chaque catégorie, nous voterons pour LE meilleur manga, qui sera acheté et exposé au CDI, à disposition des élèves.
Aujourd’hui je vous présente Goodnight World de Uru Okabe, un des livres sélectionnés cette année.
Résumé
Taichiro, jeune adolescent à la famille décomposée, se réfugie tous les jours dans un monde virtuel fantastique appelé PLANET. Là-bas, la famille de substitution qu’il a créée avec d'autres joueurs n'est que douceur, compréhension et gentillesse. Pourtant, les choses vont vite se gâter quand ils devront faire face au monstre surpuissant qu’est le Black Bird, et parallèlement, aux failles de cette famille virtuelle qui apparaissent peu à peu.
L’auteur
Uru Okabe débute sa carrière de scénariste et dessinateur de manga avec sa série World War Demon, un manga fantastique aux personnages sombres et réalistes. Il est vite repéré avec son premier tome et publie ses prochaines planches en ligne. A la fin de la série, il enchaîne avec Goodnight World, qui traite des conséquences des mondes virtuels et des relations familiales.
Avis personnel
Très réalistes, sombres même, mais attachants, les personnages de Goodnight World nous entraînent dans une aventure hors du commun et pleine de rebondissements. Complet et surprenant, ce premier tome dessine peu à peu un monde virtuel bien développé et présente des personnages intéressants et variés, tout cela sur la base d’une intrigue bien construite et de cliffhangers impressionnants. Les designs et dessins sont aussi très bien réalisés et communiquent facilement l’atmosphère et les émotions des personnages.
C’est la fin de cet article qui, je l’espère, vous aura plu. Le prochain portera sur le manga L’oiseau d’or de Kainis, que j’ai aussi apprécié. Mais je n’en dis pas plus. À bientôt !
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